En compagnie de Roger MALINA, directeur de la grande revue d'art et de science LEONARDO, faisons un tour dans les salles de conférence.
La vedette médiatique est sans conteste STELARC, maître es performances bio-cybernétiques, où il s'implique physiquement, non sans risques. Il s'intéresse aujourd'hui au web comme une extension de plus au corps humain. Allez donc voir son site pour découvrir le personnage.

D'une manière générale, le Net a inspiré nombre de réflexions dans les arts électroniques, qu'il soit considéré comme un outil de diffusion et de communication, ou bien comme un nouveau moyen de création à développer.

Les sujets abordés dans les conférences, les tables rondes furent très divers : questions techniques, relations entre l'art et la science, problêmes de pédagogie, institutions, musique et animation, poésie, cyberespace...Les actes seront publiés par l'ISEA.

Non seulement, comme nous l'avons déjà dit, tout se faisait et se disait en anglais, mais, bien plus grave, mis à part quelques belges et quelques canadiens francophones, pratiquement aucun français n'était présent, ni comme spectateur, ni comme conférencier.
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